Analyses et propositions de réformes politiques institutionnelles, économiques, fiscales, sociales, juridiques, et autres, issues de ma pratique professionnelle et de la vie tout simplement ; pour vraiment changer...
Actualité morose et sans grande raison d’espérer que nos politiques travaillent pour nous, alors, comme j’aime, un sujet à côté des sujets, au fil des mots, sans plan précis et sans être sûr d’où je nous conduis, ni même que ce ne sera pas une divagation…
L’élément déclencheur est, que depuis les affaires DSK et Tron, on réentend un mot qui semblait banni du vocabulaire médiatique : sexualité !
Enfin, pas directement de cette façon là, mais plutôt dans un capharnaüm de fantasmes sans aucune retenue et jusqu’à l’indigestion, tout ça sous couvert d’information et/ou de position politique… Alors, allons y voir de plus près…
Oui, ceci n’est pas un concombre !... Alors, d’après vous, qu’est-ce que c’est ? Désolé, vos nerfs vont être soumis à rude épreuve, un seul choix possible !…
Ceci n’est pas un concombre !… |
Alors, d’après vous, qu’est-ce que c’est ? - une arme de destruction massive, si elle est assaisonnée d’E.coli enterohémorragique - un instrument de plaisir, parfois porteur de MST, si assaisonnée d’E.coli enterohémorragique - un symbole de l’oppression phallique masculine - un gourdin souple, sans visée létale, mais pouvant faire mal - une cucurbitacée, une plante potagère herbacée, rampante, de la même famille que la calebasse - un légume qui me fait roter et que je digère mal - une célèbre bande dessinée, quand il est masqué - heu… je sais pas, ma situation ne me permet pas d’avoir de l’imagination - un moyen pour maigrir avec ou sans E.coli enterohémorragique - autre |
Résultats |
Vous avez réussi à choisir ? Alors, vous êtes très fort, en tout cas plus que moi… Ce petit exercice surréaliste, juste pour vous faire mesurer qu’il n’existe pas qu’une seule réalité, alors qu’il n’existe qu’une seule Loi (ou presque) pour les interpréter toutes, et les sanctionner éventuellement.
Pourquoi je vous raconte tout ça ? À dire vrai, je n’en sais trop rien pour l’instant, une espèce d’irritation à chaque fois que j’entends comment nos médias relatent l’affaire DSK, et même de Tron maintenant (mais je suis en permanence irrité par les médias, alors, ce n’est peut-être pas significatif)…
C’est notre ami I-Cube (ex Infreenquentable) qui, à sa façon (c'est-à-dire avec ses gros sabots), m’a fait prendre conscience de ce qui est en train de s’installer insidieusement, mais sûrement, dans nos rapports humains, surtout quand j’entends certaines « féministes » qui continuent leur litanie sur l’oppression masculine, en passant sous silence tout un tas de comportements sociaux qui bien évidemment n’existe pas, comme, par exemple, le harcèlement des patrons masculins par des personnels féminins (mais également en inversant les rôles : patron femme harcelant le personnel masculin) ou les attitudes provocatrices de certaines femmes.
Dans mes fonctions de dirigeant, j’en ai eu des nichons sous le nez, quand on m’apportait du courrier à signer et autres attitudes sans aucune équivoque, jusqu’à me faire plaquer contre un mur dans une pièce d’archivage par le clone de Brigitte Nielsen en brune, ou une autre qui insistait pour que je lui tâte les seins pour constater à quel point sa réduction mammaire avait préservé l’essentiel… Il en faut, alors, une sacrée dose de tenue de soi-même pour ne pas déraper, faire la part des choses et dire non. Je me suis même fait harceler au téléphone pendant plusieurs années par une employée éconduite (et virée pour incompétence) qui m’appelait, sans dire un mot, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit ; et, quand j’ai su qui elle était, je ne l’ai pas pour autant dénoncée à la police…
Et que dire de toutes celles qui lisent les journaux féminins lobotomisateurs, pour ressembler aux « modèles sociaux » de femmes désirables ; mais rappelez-moi au fait, pourquoi elles font cela ? Pour se plaire à elle-même ? Pour plaire aux autres ? Pour plaire à quelqu’un en particulier ? Pour plaire à celui qui leur plaira aussi ?... Difficile de différencier les messages sur une simple apparence… Et ne me faites pas dire ce qui n’est absolument pas mon propos, genre que je penserais que toutes les femmes qui sont victimes de viol et/ou de violences l’ont bien cherché. Ça n’a rien à voir, je souligne juste les limites des codes sociaux qui laissent dans le néant la plus grosse partie des messages et échanges relationnels pour ce qui concerne la sexualité.
Certaines cultures, comme celle des Tahitiens, ont d’ailleurs réglé le problème très simplement en adoptant des signes distinctifs sur leur état de disponibilité relationnelle ; alors pourquoi pas nous[01] ? Ça serait quand même plus clair, non ? Et ça permettrait que les luttes des années soixante-dix sur l’émancipation des femmes (et des hommes) ne finissent pas aux oubliettes de l’histoire… écrasées par le retour du puritanisme le plus puant, celui de l’auto-oppression humaine qui en plus emmerde tous ceux qui ne sont pas comme eux.
Compte tenu du climat ambiant, ça devient de plus en plus compliqué d’avoir la bonne attitude, soit on choisit de vivre dans le renoncement des plaisirs charnels, en se rendant hermétique à notre environnement, soit on passe pour un harceleur qui ne sait pas se tenir, soit… mais peu importe, le résultat c’est que dans tous les cas c’est l’hypocrisie à tous les étages… Cependant, pour certaines femmes, il semble bien que quelle que soit la position adoptée par l’homme, finalement, il aura toujours tort…
Voilà, je viens de découvrir ce qui me crispe dans les litanies de certaines « féministes », ce permanent amalgame assimilant tous les hommes à des bêtes prêtes à tout pour assouvir leurs pulsions et maintenir les femmes sous leur domination ; c’est aussi con et réducteur que de généraliser un discours sur les immigrés, sans distinguer l’origine des éventuels problèmes comme des causes non spécifiques à cette catégorisation sociale… Mais peut-être qu’il faut qu’elles nous disent qu’elles ont définitivement renoncé à se reproduire et/ou à avoir une sexualité, ça sera plus clair ou quel est le niveau de « drague » qu’elles sont en état de supporter.
Alors, dans ce « grand mouvement » de clarification des rapports sociaux, il est plus que temps de mettre les choses au clair… et de se préserver de la judiciarisation « après coup », de tous les actes et échanges sociaux, par la mise au point d’un contrat que chacun devra avoir sur lui en toute circonstance « au cas où »…
I-Cube a élaboré une « Convention sous seing privé de coït librement consenti » que je vous livre, après y avoir apporté mes modifications, car sa portée pédagogique et juridique sont hautement d’utilité publique, au vu du climat ambiant actuel.
Convention sous seing privé de « coït librement consenti », dite « cIc »
Nous, soussignés, déclarant préalablement, n’être ni interdits, ni empêchés, ni sous curatelle, ni sous tutelle, et comprenant parfaitement le français, langue de rédaction de ce contrat, acceptée par les deux parties :
NOM (*) :
Surnom (*) :
Prénom (*) :
Né(e) le (*) :
À (*) :
De nationalité (*) :
De sexe de naissance (Masculin ou Féminin) (*) :
D’orientation sexuelle par choix :
O - Hétérosexuel(le),
O - Bisexuel(le),
O - Homosexuel(le),
O - Travesti(e),
O - Transsexuel(le),
O - Transgenre,
O - Autre ou un peu de tout et même plus (*) :
Déclarant par ailleurs être (*) :
O - mariés,
O - pacsés,
O - concubins notoires,
O - célibataire,
O - simples libertins,
O - en manque de sexe,
O - liés par des liens de subordination, ou par des intérêts professionnels et/ou financier, directement et/ou indirectement, à des tierces personnes ou entre eux-mêmes (**), à :
Domicilié (*) :
D’une part et
NOM (*) :
Surnom (*) :
Prénom (*) :
Né(e) le (*) :
À (*) :
De nationalité (*) :
De sexe de naissance (Masculin ou Féminin) (*) :
D’orientation sexuelle par choix :
O - Hétérosexuel(le),
O - Bisexuel(le),
O - Homosexuel(le),
O - Travesti(e),
O - Transsexuel(le),
O - Transgenre,
O - Autre ou un peu de tout et même plus (*) :
Déclarant par ailleurs être (*) :
O - mariés,
O - pacsés,
O - concubins notoires,
O - célibataire,
O - simples libertins,
O - en manque de sexe,
O - liés par des liens de subordination, ou par des intérêts professionnels et/ou financier, directement et/ou indirectement, à des tierces personnes ou entre eux-mêmes (**), à :
Domicilié (*) :
D’autre part ;
Article zéro
Tous deux adultes consentants, sains de corps et d’esprit, pris d’une folle envie de sensuelles étreintes (**), d’une appétence irrésistible l’un envers l’autre (**), d’un désir insurmontable de copuler incommensurablement (**), s’engagent unilatéralement, mutuellement et réciproquement, sans contrainte ni violence (pour ces deux derniers termes, sauf demande exprès d’une des parties qui fera alors l’objet d’un avenant au présent contrat pour fixer les modalités de la violence souhaitée et librement consentie).
Article premier
Avoir et entretenir des rapports sexuels hautement torrides et sensuels à la meilleure convenance des circonstances et jusqu’à épuisement de l’un ou l’autre et/ou ruissellements de « body-fluides » abondants.
Article deux
Ne se prévaloir d’aucune sorte, envers qui que ce soit, de la présente convention ou de la situation qui en découlerait, même en vue de nuire à l’autre partie à la présente convention, ou d’en tirer un avantage personnel de quelque nature que ce soit directement ou indirectement ou par tiers interposé, y compris pécuniaire, hormis le cas prévu à l’article 4.
Les parties optent conjointement, pour se faire, pour :
O - des rapports protégés,
O - des rapports non protégés ; et dans ce dernier cas, ils joignent aux présentes des analyses médicales récentes, attestant de leur absence de MST.
Article trois
La présente convention est consentie juste pour un cIc ou une durée indéterminée/de XX jours ou (*) (**).
Elle prend fin soit à son terme prévu, soit par lettre recommandée avec AR, soit par remise en main propre contre décharge par un tiers, soit signification d’huissier de justice ou tout autre acte extrajudiciaire, de dénonciation par la partie la plus diligente.
Les obligations nées de la présente convention se poursuivent néanmoins entre les parties au titre de l’article deux, ce que chacun consent et concède à l’avance.
Article quatre
En cas d’arrivée du terme ou de dénonciation par l’une des parties, comme il est prévu et précisé en l’article 3, l’article premier devient sans fondement.
Aussi, en cas de violation par l’autre partie qui n’aurait pas souscrit à la procédure de l’article 3 et aurait tenté de poursuivre l’application de l’article premier de sa seule initiative malgré la cessation prévue à l’article 3, il pourra être poursuivi par toutes voies de droit en réparation des dommages et préjudices subis, sans pour autant excipé la présente convention.
La présente convention ne pourra être produite par l’autre partie que pour assurer sa défense seulement si l’une d’elles prétend à la réparation de faits antérieurs à la cessation de la présente convention.
Article cinq
En cas de conflit ou de situation précontentieuse entre les parties pour l’application de cette convention, les parties auront recours à l’arbitrage et soumettront leur différent à un collège de deux arbitres, chacun choisi par chaque partie sur la liste des « experts auprès des Cours d’Appel » qui désigneront eux-mêmes un troisième arbitre.
Leur sentence arbitrale ne sera susceptible d’aucun recours, or, l’invalidation en Cassation selon les voies de droit ouvertes par la loi.
Article six
Chacune des parties s'engage à exécuter de bonne foi et sans réserve le présent contrat. Cependant, pour tout conflit né ou à naître - notamment en cas d'insatisfaction sensuelle, de frustration corporelle, d'anorgasmie, d'impuissance, de désagrément fantasmatique, de blessure narcissique, ainsi que toute autre cause donnant lieu à souffrance psychique et/ou frustrations et/ou regrets ou remords, mais également en cas de rapports sados masochistes consentis pouvant laisser des traces corporelles - les parties déclarent qu'elles ne demanderont aucune réparation juridique et feront leur les risques et conséquences inhérents à ce type de relations humaines.
Pour les rapports sados masochistes, les contractants stipuleront en tête du présent contrat quelle position, ils s'accepteront d'adopter en toute conscience : dominant(e) ou dominé(e) ou les deux.... Toute demande exprès de violence, d’une des parties ou des deux, devant faire, par ailleurs, l’objet d’un avenant qui en fixera les modalités et limites, telles que stipulées à l’article zéro.
Article sept
La présente convention est dispensée de la formalité d’enregistrement.
Toutefois, celle-ci peut être requise par la partie la plus diligente pour donner date certaine, au tarif des actes innomés.
Fait, pour valoir de droit entre les parties signataires, à (*) :
En 7 (*) exemplaires
Signatures (*) :
(Précédées de la mention manuscrite : « Bon pour acceptation sans bénéfice de discussion ni de division »).
Témoin de la partie 1 :
NOM (*) :
Surnom (*) :
Prénom (*) :
Né(e) le (*) :
À (*) :
De nationalité (*) :
De sexe de naissance (Masculin ou Féminin) (*) :
D’orientation sexuelle par choix :
O - Hétérosexuel(le),
O - Bisexuel(le),
O - Homosexuel(le),
O - Travesti(e),
O - Transsexuel(le),
O - Transgenre,
O - Autre ou un peu de tout et même plus (*) :
Déclarant par ailleurs être (*) :
O - mariés,
O - pacsés,
O - concubins notoires,
O - célibataire,
O - simples libertins,
O - en manque de sexe,
O - liés par des liens de subordination, ou par des intérêts professionnels et/ou financier, directement et/ou indirectement, à des tierces personnes ou entre eux-mêmes (**), à :
Domicilié (*) :
Témoin de la partie 2 :
NOM (*) :
Surnom (*) :
Prénom (*) :
Né(e) le (*) :
À (*) :
De nationalité (*) :
De sexe de naissance (Masculin ou Féminin) (*) :
D’orientation sexuelle par choix :
O - Hétérosexuel(le),
O - Bisexuel(le),
O - Homosexuel(le),
O - Travesti(e),
O - Transsexuel(le),
O - Transgenre,
O - Autre ou un peu de tout et même plus (*) :
Déclarant par ailleurs être (*) :
O - mariés,
O - pacsés,
O - concubins notoires,
O - célibataire,
O - simples libertins,
O - en manque de sexe,
O - liés par des liens de subordination, ou par des intérêts professionnels et/ou financier, directement et/ou indirectement, à des tierces personnes ou entre eux-mêmes (**), à :
Domicilié (*) :
Chacun, récipiendaire d’un original de la présente convention,
Témoigne(nt) par avance avoir assisté à l’échange des consentements et signatures faite sans violence ni contrainte apparentes et déclare n’être ni apparenté ou le subordonné d’aucune partie.
Signatures (*) :
(Précédées de la mention manuscrite : « Bon pour valoir ce que de droit »).
(*) : Compléter ou modifier.
(**) : Rayer les mentions inutiles.
Ouf… Vous voilà prêt à faire face à toutes les situations relationnelles où se profilerait un acte sexuel, sans crainte de revers et désagréments juridiques… Merci qui ?
Cette convention a pourtant, au moins, un grand défaut, il élude (article 6) et ne détaille pas un certain nombre de pratiques, acceptées et souhaitée ou non, par les parties, comme : la durée des préliminaires, le temps de coït minimal (et maximal) souhaité, selon quelle cadence et force, l’envie de fellation[02], de cunnilingus, de sodomie, la prononciation de certains mots stimulants, le temps de récupération tendresse, la clope après l’amour ou pas, et cetera, et cetera, …
Mais, il faut laisser un peu de mystère et d’initiatives, non ?
Par ailleurs, il exclut tous les « incapables » (au sens juridique du terme) de contracter et de la possibilité d’avoir une vie sexuelle librement consentie ; ce qui empêche de fait, les trisomiques et autres de forniquer. Je sens déjà que les débats juridiques risquent de se déplacer sur le terrain de la liberté du consentement des incapables, et/ou de l’extension de l’incapacité à des situations considérées jusqu’alors comme « normales » (bimbos, illettrés, lumpenprolétariat, supporters du PSG, électeurs de Delanoë, de Sarkozy, et cetera), et qu’on n’est pas sorti de l’auberge.
Enfin, autre faiblesse majeure, je crains fort que la signature préalable d’une telle convention ne rende les partenaires totalement inaptes à la mise en acte. C’est ainsi, brisez le « mystère » et vous ouvrez la porte au désintérêt… De plus, si on considère que le mariage est un contrat qui a fait « ses preuves », alors au moins 80 % des parties trouveront au bout de quelques minutes, heures, jours ou années, que ce fut un marché de dupe, quelles qu’en soient l’origine et la cause.
Bon, je vais mettre fin à votre calvaire, pour vous dire directement où, maintenant, je comprends moi-même où je veux en venir.
En fait, la notion de consentement recèle un paradoxe foncier, autant elle doit figurer dans le droit comme une loi fondamentale du respect de la liberté et de l’intégrité des individus, autant elle est totalement inadaptée au champ de la sexualité et même des relations humaines ; car par nature le « vrai » consentement suppose que l’on maîtrise l’intégralité de l’information qui pousse à faire tel ou tel acte, ainsi que son origine interne ou externe, ce qui est bien évidemment impossible.
Dans sa (parfois) grande sagesse le législateur a d’ailleurs progressivement vidé de toute substance les divorces prononcés pour faute et il était même question dans la réforme de 2004 de totalement supprimer cette possibilité. Malheureusement, le mouvement s’est arrêté devant la levée de bouclier des ligues familiales qui considèrent toujours le mariage comme un contrat comportant des devoirs qui s’ils ne peuvent être soumis à la reconnaissance d’une faute viderait de tout sens les obligations du mariage. Et moi, je pense que sauf violence physique et/ou verbale, qui sont des délits ou des crimes de droits communs, il n’y a aucune raison de rechercher une faute et qui est responsable de ce qui n’a pas fonctionné dans une relation. C’est impossible de trouver une responsabilité univoque, singulière et unilatérale dans une relation, cela échappera toujours au législateur et a fortiori au juge, tout simplement parce que cela échappe également aux individus.
À la base, il y a quelque chose dans la sexualité, mais tout également dans les échanges humains qui nous échappent, qui ne sont pas réductibles à une mise en cadre juridique et encore moins à une pensée politique.
C’est pour cela que je pense que beaucoup d’idéologies politiques sont à côté de la plaque et même dangereuses, dès qu’elles démontrent ou défendent une ambition pour changer les relations ou rapports sociaux.
Cependant, ne vous y trompez pas, tout ce que je propose dans ce blog, vise effectivement à changer les rapports sociaux, pour autant vous n’y trouverez aucune proposition directe à ce propos qui dirait (sauf rares exceptions), voici les méchants et voilà les gentils, voilà ce qui est bien et voilà ce qui est mal et voilà ce que tout le monde doit faire. Ça fait une grosse différence avec ce que je continue à entendre chez certaines féministes et groupes politiques… De même, cela fait une grosse différence quand on doit décider des moyens d’action ; mais vous avez sûrement déjà dû le découvrir par vous-même.
Je terminerai en faisant une demande particulière à certaines « féministes » : pourriez-vous cesser de parler « des hommes » comme d’une catégorie indistincte ? Affirmant en cela des positions sexistes aussi idiotes que celles qu’elles sont censées combattre ; ce qui n’empêche pas de militer contre les violeurs, les harceleurs et autres prédateurs. Mais je crains que cela perdrait toute saveur, n’est-ce pas ? C’est vrai, demander la mise hors d’état de nuire et/ou l’incarcération de tous les délinquants, masculins et féminins, risquerait soudainement de vider de toute sa substance le discours sous-jacent.
Et une dernière requête pour vraiment terminer : mon Dieu, si vous existez, je vous supplie de nous préserver du puritanisme à l’américaine et du régime végétarien à base de concombre… bon, je sais, maintenant, que pour moi ça sera la case : « un légume qui me fait roter et que je digère mal ».
Alliance portée à l’annulaire droit : vous êtes célibataire, libre.
Alliance portée à l’annulaire gauche : vous êtes marié(e), fiancé(e), pris(e), ou pas intéressé(e).
Alliance portée à l’index gauche : vous êtes marié(e), ou pris(e), mais encore disponible.
Alliance portée à l’index droit : vous êtes disponible immédiatement.
Sans alliance : attention maverick, à vos risques et périls…
On peut même imaginer une variation avec les 6 autres doigts qui indiquerait également les préférences sexuelles…
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[02] - Digression : au fait, comment peut-on forcer une femme à cette pratique sans la menacer avec une arme ??? Et encore, il ne faut pas avoir peur de se la faire couper… Je suis peut-être naïf, mais je ne vois pas…
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