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  • : Solutions politiques (ou + de 400 propositions de réformes politiques...)
  • : Analyses et propositions de réformes politiques institutionnelles, économiques, fiscales, sociales, juridiques, et autres, issues de ma pratique professionnelle et de la vie tout simplement ; pour vraiment changer...
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Sommaire

 

Sélection partiale des derniers articles mis en ligne

Faire-part...

À mes lectrices et lecteurs : avertissements importants !

« Après moi le déluge ! » : constats « navrants » sur plus on sait et plus on est con...

Changer par la loi et pour une « vraie révolution fiscale »... sans sortir de l’Europe...

« La société du spectacle » et « No future », nos seuls avenirs ?...

L’irrésistible progression des souverainistes et des nationalistes : l’horreur absolue... Qui est responsable ?...

Homoparentalité et « mariage pour tous » : de la réalité à la loi...

« Nul ne peut s’enrichir sans cause » : une jurisprudence malheureusement oubliée...

Rapport Gallois et compétitivité... De qui se moque-t-on ?...

« Double contrainte » : 40 ans d’accords internationaux et de lois, qui rendent fou...

La propriété privée et la finitude : des nœuds systémiques centraux...

 

Quelques classiques et textes fondateurs

Imprécis précis de fiscalité… pour en finir avec les « croyances populaires »… si, c’est possible…

(3) - Mises au point et compléments sur la TVA sociale… 

Les dettes publiques : dans la série « on ne vous dit pas tout »… et c’est quoi la pensée virtuelle ?

Histoires de dettes interbancaires : dans la série « on ne vous dit pas tout »… et c'est quoi l'économie virtuelle ?…

Exercises appliqués d’analyse systémique sur la mondialisation et à propos de la décroissance…

À ceux qui prônent un retour au Franc… et aux autres, qui manquent d’arguments pour leur répondre…

(1) - Le marxisme est-il une drogue dure ? Ou quel est le véritable opium du peuple ? Essai de plaidoyer pour une révolution systémique des modes de pensée et des solutions de gauche... (début)

(1) Travailler plus intelligemment, produire utile et modifier les structures, pour travailler moins et créer de la valeur... (début)

(1) - TVA et TVA sociale substitutive : une arme pour le développement économique et de transparence démocratique… (début)

 

Une toute petite sélection d'articles qui aurait pu figurer sous une rubrique « On ne vous dit pas tout »

Le faux débat sur l'évasion fiscale et les paradis fiscaux...

Solidarités sociales et retraites : ce qu’il faut savoir et ce qu'on ne vous dit pas ou si peu...

Vélib' : problèmes d'arithmétique élémentaires, niveau CM1…

 


Tout les articles publiés (regroupés dans l'ordre de leur parution par catégorie : du plus ancien au plus récent)

  A - Préambules

Introduction et justifications de ce blog

D’où je viens, comment je me situe, philosophie et cadre général des propositions

Petites mises au point pour comprendre la logique de ce blog et des 400 propositions…

 

B - Le programme de réformes

1 - Les institutions

2 - Les institutions

1 - Economie et fiscalité

2 - Economie et fiscalité

Santé, Sécurité Sociale et retraites

1 - Droit du travail

2 - Droit du travail

Formation - Éducation - Recherche

Justice

Emplois

Sécurité et qualité de vie

Europe

Plan de mise en œuvre des propositions

Pour conclure provisoirement

 

D - Anecdotes, réflexions et solutions suggérées

Voirie parisienne : l’honneur perdu de Delanoë qui cautionne l’ayatholisme de Baupin et Contassot

(1) - Déficit de la Sécurité Sociale… mes expériences dans l’univers kafkaïen des services de "santé" (début)

(2) - Déficit de la Sécurité Sociale… mes expériences dans l’univers kafkaïen des services de "santé" (fin)

Violence des cités… : Quand on n’a pas les mots et qu’on a tous les maux, il reste le passage à l’acte violent…

A propos d'éducation - Une lettre à Science & Vie

Médias : leur responsabilité dans l'absence de pensée…

Politique internationale : Attentats du 11 Septembre - Au-delà du bien et du mal, il me manque les mots…

Politique internationale : Combien de temps encore nous ferons-nous la guerre pour les fautes des pères ?

(1) - Le marxisme est-il une drogue dure ? Ou quel est le véritable opium du peuple ? Essai de plaidoyer pour une révolution systémique des modes de pensée et des solutions de gauche… (début)

(2) - Le marxisme est-il une drogue dure ? Ou quel est le véritable opium du peuple ? Essai de plaidoyer pour une révolution systémique des modes de pensée et des solutions de gauche… (fin)

Perversions des systèmes : la démocratie en danger

Nicolas Hulot : l'équation économique insoluble et insolvable…

Quelques problèmes auxquels, je réfléchis sans vraiment trouver de remède pratique…

Un problème qui me pose vraiment problème : la société du spectacle, c'est maintenant…

Suite aux présidentielles : politique-fiction sur le mode de scrutin...

(1) - TVA et TVA sociale substitutive : une arme pour le développement économique et de transparence démocratique… (début)

(2) - TVA et TVA sociale substitutive : une arme pour le développement économique et de transparence démocratique… (fin)

(3) - Mises au point et compléments sur la TVA sociale…

(1) - Travailler plus intelligemment, produire utile et modifier les structures, pour travailler moins et créer de la valeur... (début)

(2) - Travailler plus intelligemment, produire utile et modifier les structures, pour travailler moins et créer de la valeur… (fin)

À propos de l’intéressement des salariés aux résultats de l’entreprise…

Pour redonner à la monnaie son équivalence travail et empêcher qu’elle soit gérée comme une marchandise, faut-il éliminer les spéculateurs ?...

Souvenirs d'un vieux con, à propos du féminisme... + Épilogue

Tribune de l'action...

Tribune de l'action : rêvons un peu… avec les banques…

Divagations sur la crise... L'inconscient, cette donnée incontournable oubliée par la politique...

Le faux débat sur l'évasion fiscale et les paradis fiscaux...

Solidarités sociales et retraites : ce qu’il faut savoir et ce qu’on ne vous dit pas ou si peu…

Juste deux ou trois choses qui personnellement me soucient bien plus que l’avenir des retraites !

(1) - Burqa et loi : un débat démocratique entre citoyens - Catherine Kintzler et Incognitototo (début)

(2) - Burqa et loi : un débat démocratique entre citoyens - Catherine Kintzler et Incognitototo (suite et fin ?)

Réchauffement climatique global ou pas ? Religiosité et politique : les Verts et Europe Écologie, la nouvelle secte des béni-oui-oui…

À ceux qui prônent un retour au Franc… et aux autres, qui manquent d’arguments pour leur répondre…

(1) - Euro contre Franc : un débat démocratique entre citoyens - Laurent Pinsolle et Incognitototo (début)

(2) - Euro contre Franc : un débat démocratique entre citoyens - Laurent Pinsolle et Incognitototo (suite et fin ?)

Exercices appliqués d’analyse systémique sur la mondialisation et à propos de la décroissance…

La « lutte des places » : la septicémie de notre démocratie...

Histoires de dettes interbancaires : dans la série « on ne vous dit pas tout »… et c'est quoi l'économie virtuelle ?…

Les dettes publiques : dans la série « on ne vous dit pas tout »… et c’est quoi la pensée virtuelle ?

Imprécis précis de fiscalité… pour en finir avec les « croyances populaires »… si, c’est possible…

La propriété privée et la finitude : des nœuds systémiques centraux...

Tous les extrémistes sont de dangereux malades mentaux...

Sciences et politique : un mauvais mélange... Le cas des réchauffistes...

« Double contrainte » : 40 ans d’accords internationaux et de lois, qui rendent fou...

Rapport Gallois et compétitivité... De qui se moque-t-on ?...

« Nul ne peut s’enrichir sans cause » : une jurisprudence malheureusement oubliée...

Homoparentalité et « mariage pour tous » : de la réalité à la loi...

La politique virtuelle contre « l’économie réelle »...

L’irrésistible progression des souverainistes et des nationalistes : l’horreur absolue... Qui est responsable ?...

« La société du spectacle » et « No future », nos seuls avenirs ?...

Changer par la loi et pour une « vraie révolution fiscale »... sans sortir de l’Europe...

« Après moi le déluge ! » : constats « navrants » sur plus on sait et plus on est con...

 

G - Actualité

Investiture socialiste, quand les vieux gouvernent la France,… étonnant, non ?

A propos de la Démocratie Participative...

Un débat presque oublié… Ou comment choisir notre futur(e) président(e) ?

Tramway parisien, ils persistent et ils signent... et les conneries continuent...

Mon raisonnement à la con pour choisir un Président…

Delanoë menteur et médias complices !!!

Quelques réflexions en vrac sur les résultats du premier tour des présidentielles… et notre système démocratique.

Débat télévisé des présidentiables… le degré zéro de la politique...

Quelques sentiments et idées en vrac, avant la mise en sommeil…

Hommage à Madame Benazir Bhutto…

Constitution européenne : Appels contre le traité de Lisbonne et le déni de démocratie

Edvige, Cristina et tous les autres...

Crise financière mondiale et faillite de la banque Lehman Brothers

Burqa : la liberté et le doute doivent-ils profiter à l’obscurantisme ?… Réflexions et solutions alternatives…

Revue de presse et informations complémentaires sur les retraites…

L’Islande, oubli ou désinformation ?... La révolution, dont (presque) personne ne parle…

Islande, les suites de leur révolution… ou les débats que nous évitons en France…

Mitterrand : l’imposture de la gauche - 10 mai 1981 : la commémoration du deuil de la gauche…

Les dettes souveraines : l’arnaque d’un demi-siècle de mensonges, ou de qui se moque-t-on ?…

11 septembre : la commémoration des amnésiques…

Primaires socialistes : allez-y...

« Votez, pour eux !... »

Croyances et politique : variations et élucubrations sur un second tour...

En vrac...

Compte-rendu d'étape de la présidence Hollande : toujours plus de la même chose : 1 / changement : 0,001

C’est la rentrée... Tous les gens qui s’offusquent de l’incivisme ou de l’immoralité de Bernard Arnault m’emmerdent...

Tribune de l’action : séparer les activités des banques (urgent et important !)... 

Fin de la souveraineté économique des pays et de la démocratie européenne...

À mes lectrices et lecteurs : avertissements importants !

 

E - Émotions, sentiments, humeurs, rires...

Une lettre anonyme que l'INSEE ne recevra pas...

Europe, après la victoire du "non" : les politiques me fatiguent et les journalistes aussi...

Nouvelles cartes grises : carton rouge aux eurocrates qui ont encore frappé très fort…

Quelqu'un connaît-il un descendant de Champollion ? Ou de quoi parlent 2 amis experts-comptables quand ils se rencontrent ?

Insécurité routière... pardonnez-moi, je me défoule...

Je n’ai rien à dire… ou presque…

Lettre à la direction d’un hôpital ou comment sont utilisés nos impôts...

Sarkozy élu… pour partager ma bile… et message(s) à cette gauche atteinte de crétinisme avancé…

Tous derrière Delanoë… pour sauver le monde en plantant des carottes…

Tramway parisien : le bal des cocus continue… et la mascarade passe…

ASSEDIC (et autres) : qui sont les crétins qui écrivent les directives ?...

Une journée dans les bas-fonds de la justice française...

Michel Onfray… Au secours ! La pensée dogmatique et l’ostracisme sont de retour…

Juste pour rire... le langage politique… 

Service des urgences de l’hôpital Tenon : la « honte » de nos services de santé…

Divagations sur le consentement, la sexualité et autres considérations sociales…

Partage d’émotions : quand les humains comprennent ce qui les réunit plus que ce qui les divise...

Une symbolique de 2012 : pour rire jaune… 

Récréation philosophique…

Mes interrogations du moment... ou quand le vide politique ne présage rien de bon...

Nouvelles du « monde du travail » dans la France d’aujourd’hui… interdit au moins de 18 ans…

Nouvelles de la barbarie, de l’individualisme et de l’indifférence…

11 Novembre, hommage et mémoire…

Chine-USA : « Une guerre sans limite »…

Spécial vœux 2012, le temps des bilans… hommage posthume au Diceros bicornis longipes...

"L’Université des Va-nu-pieds", quand les hommes comprennent ce qui les relie…

Faire-part de vie...

Être un homme de gauche, par Alex Métayer...

Le pouvoir des banques, le cas d’école : Goldman Sachs...

Des vœux pour 2014 que je fais miens !...  

Faire-part...

 

  F - Ville de Paris : urbanisme et politique...

Informations sur la catégorie : "Ville de Paris : urbanisme et politique..."

Voirie parisienne : l'honneur perdu de Delanoë qui cautionne l'ayatholisme de Baupin et Contassot

A propos de la Démocratie Participative...

Violence des cités... : Quand on n'a pas les mots et qu'on a tous les maux, il reste le passage à l'acte violent...

Tramway parisien, ils persistent et ils signent... et les conneries continuent...

Delanoë menteur et médias complices !!!

Insécurité routière... pardonnez-moi, je me défoule...

Tous derrière Delanoë… pour sauver le monde en plantant des carottes…

L’Omerta sur Michel Charzat, liste différente de Paris 20ème

Tramway parisien : le bal des cocus continue… et la mascarade passe…

Vélib' : problèmes d'arithmétique élémentaires, niveau CM1…

 

H - Livre d'or des commentaires et autres...

 

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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 13:00

Première date de publication : 14/05/2007

Date de la dernière mise à jour : 10/2012
 


            Suite à quelques échanges sur le forum de Marianne2007(le site a disparu, désolé), je voudrais essayer de répondre à tous ceux qui continuent à penser que tout ce blog n’est qu’un catalogue à la Prévert, de mesures technocratiques, qu’il n’y a pas de vision dans mes propositions, qu’on ne construit pas un programme politique seulement sur des actes à poser…

  

Personnellement, ce qui m’étonne toujours c’est de vouloir continuer à se battre sur des mots, sur une classification politique des actes… et pour un projet de « maison commune » que l’on peut certes définir, mais qui n’a aucun sens, si on ne tient pas compte des contraintes techniques qui permettront ou pas de la construire…
Effectivement, mes propositions sont plus celles d’un ingénieur qui a élaboré un projet en fonction de ce qu’on peut faire pour que chacun ait la maison qui lui convient, plutôt que celui d’un visionnaire qui promettrait Versailles sur pilotis à tout le monde… pourvu qu’il recueille les voix qui lui sont nécessaires pour avoir le pouvoir…
 
En préambule de mon blog, j’ai résumé l’ambition des 400 propositions :
● rendre les gens maîtres de leur destin,
● redéfinir et rétablir les responsabilités,
● réintroduire de la démocratie là où elle a disparu,
● remettre les politiques au boulot,
● relocaliser l’économie,
● créer plus de richesse, d’emplois, et des ressources nouvelles,
● éradiquer le chômage de masse et redistribuer nos fonctionnaires (ou assimilés) sur des emplois utiles, socialement et économiquement,
● éradiquer nos dettes et rétablir l’équilibre de notre balance commerciale,
● mettre fin aux petites magouilles,
● dissuader les spéculateurs de gagner toujours plus d’argent sans rien faire, sans aucune considération, pour les humains qu’ils exploitent et la planète qu’ils saccagent,
● faire de colossales économies d’échelle pour revenir à un service public qui préfère éduquer, soigner, rendre justice, protéger et aider des gens plutôt que leur demander leurs papiers…
 
Certes ce n’est pas très enthousiasmant… mais, ce sont pour moi des objectifs fondamentaux, sans lesquels aucun projet de société n’est viable, sans lesquels toute promesse ne serait que la porte ouverte à quelques désillusions de plus.
 
Pour le reste, je ne me vois pas en dire plus, car, ce n’est pas aux politiques de définir ce qui sera le « bonheur de tous ». Leur rôle doit se limiter à créer les conditions de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, pas à imposer des modes de vie, fussent-ils ceux des « sociétés parfaites » que l’on rencontre dans toutes les idéologies fascisantes ou gauchisantes…
Dans mon projet, toutes les maisons, aussi différentes soient-elles l’une de l’autre, doivent pouvoir coexister, sans s’imposer l’une à l’autre, sans empêcher, ni gêner l’existence de l’autre… ça fait une grosse différence, avec tous les programmes auxquels les politiques de tous bords, continuent d’essayer de nous faire adhérer…
 
C’est comme ça que je vois mon projet… Un peu comme des parents qui créent les structures et les conditions optimales pour que leurs enfants puissent trouver les voies qui les rendront heureux, pas en décidant pour eux de ce qu’ils seront plus tard et de ce qui sera bon pour eux !!!
 
Alors, j’admets bien volontiers que je ne soulèverai pas les foules avec un tel projet ou que la lecture de ces propositions puisse ennuyer… mais, c’est ma conception du rôle du politique. Proposer plus, ce serait ni plus ni moins, que perpétuer la situation d’infantilisation et surtout de manipulation qui prévaut dans le discours de nos leaders depuis toujours ; et qui, non accessoirement, ont transformé la scène politique en show permanent, peuplée de surenchères démagogiques pour alimenter la société du spectacle.
 
C’est d’ailleurs, ce à quoi nous avons assisté à ces dernières présidentielles. Entre le showman Sarkozy qui a fédéré sur sa « vision » droitière de la société, sans jamais nous expliquer comment il va résorber le chômage (et pour cause, c’est un des éléments indispensables au renforcement du capitalisme)… et Royal qui ne proposait aucun projet clair, mais qui, n’apportait pas plus de solutions réelles de sortie de crise économique… impossible, pour moi, de faire un choix d’adulte responsable…
Ce sont effectivement, 2 conceptions du « fait politique » très différentes et je pense, toute modestie mise à part, que j’en propose une troisième…
Je ne sais même pas comment me définir moi-même… Social-démocrate ? Gestionnaire éclairé du capitalisme ? Centriste ?... Mais, au fond je m’en fous, seuls m’importent les actes qui produiront ou non les effets souhaités… car, s’il y a une chose, dont je suis sûr, c’est que ce n’est pas en choisissant un camp idéologique qu’on peut concrètement résoudre les problèmes…
Si la science avait appliqué des choix idéologiques à sa vision du monde et aux problèmes à résoudre, nous en serions encore à « croire » que la terre est plate et à la génération spontanée !!!
Alors, vraiment peu m’importe, comment se classent nos politiques (ou moi-même) ; seuls m’intéressent la faisabilité et l’efficacité ou pas, des actes qu’ils se proposent de mettre en place pour sortir de la merde les 8 millions de Français qui souffrent le plus ; faut-il le préciser, sans aller piquer aux autres des « bouts de leur maison » pour y arriver… En cela, malgré mon antigaullisme historique (car, je pense que beaucoup de nos difficultés actuelles ne sont que les conséquences des structures qu’il a mises en place qui sont tout, sauf adaptées à notre contexte actuel), j’étais tout prêt à voter Dupont-Aignan pour la cohérence de son projet et une grande partie des solutions qu’il se proposait de mettre en place dans son programme de 2007 (mais depuis vu ce qu'il est devenu et son programme avec, il n'en est plus question)…
Étonnant, pour la plupart de mes amis proches qui continuent, malgré tout, à « croire » en cette gauche, comme à un fait religieux, sans vouloir admettre les impasses concrètes et réelles auxquelles elle nous conduit… C’est incompréhensible pour eux, que je puisse toujours continuer à vouloir rendre réelles toutes les valeurs humanistes de cette gauche, alors que cela fait longtemps que je ne partage quasiment plus aucune de leurs croyances, quasi religieuses, sur les moyens à employer.
Probablement que la différence entre eux et moi, c’est que j’ai personnellement expérimenté cette « société idéale » à travers toutes les expériences de gestion différente que j’ai appliquée dans les microsociétés que constituent les entreprises ; pour me rendre compte, par exemple, que ce n’est pas en décrétant que nous sommes tous égaux que cette loi devient une réelle valeur commune… au contraire…
 
Alors, tant pis, si je reste un incompris, inclassable. Je n’ai jamais été et je ne serai jamais prêt à « mentir pour faire croire » ; tant que nous ne ferons pas de la politique en sortant du « fait religieux », nous nous épuiserons en affrontements stériles, sans qu’aucun problème ne soit résolu. 
 
 
Pour conclure provisoirement…
 
Quand on propose de modifier de fond en comble les structures mortifères de notre société, il faut être cohérent avec le projet… Aucune de mes propositions n’a de sens en elle-même, c’est en regardant l’ensemble du plan qu’on peut en saisir la cohérence… Mais, je comprends tout à fait que ça puisse rebuter de se plonger dans du concret et d’aller jusqu’au bout…
Je sais bien que la plupart des lecteurs préfèrent des phrases pleines d’emphase qui remuent les tripes. Je pourrais faire, mais justement ce n’est pas ça que je propose.
 
Ici, c’est pour voir concrètement « comment on fait ? ».
 
Ou autrement dit, c’est assez facile de dire : « tiens, je ferais bien un joli pont au-dessus de ce ravin », mais c’est un peu plus compliqué pour tout le monde de « faire le dessin du pont » et ça devient très difficile, quand on doit « calculer les points de charges, les résistances et dire ce qu’il faut faire pour que ce pont tienne, soit utilisable et joli en plus ». Vous voyez l’idée… ? Et mon blog c’est dans cette troisième catégorie qu’il se situe ; donc, je ne me fais aucune illusion, malheureusement, sur son accessibilité, même si je fais tout ce que je peux pour le rendre dialectiquement compréhensible ; même si je vulgarise à outrance, parfois, des problèmes qui sont bien plus compliqués qu’il n’y paraît…
Au fond, je sais bien que ça n’amuse personne d’essayer de comprendre comment on peut changer, par exemple, le système institutionnel français pour le rendre plus démocratique… ou comment on crée plus d'emplois et de richesses pour tous. D’ailleurs, sur les millions de sites politiques à notre disposition, il y a, à ma connaissance, une douzaine de sites, en tout et pour tout, qui se posent ces questions à partir du « comment on fait » ; le reste, n’en déplaise à certains, qui n’en ont pas moins un intérêt certain sur le plan des idées qu’ils remuent, sont des reproductions à l’infini de « je crois que »…
 
Aussi, j’ai conscience que je ne pourrai pas intéresser tout le monde, tant s'en faut. Mais bon, si un responsable politique d’envergure me dit un jour : « mais bon sang, mais c’est bien sûr, pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt » ou que quelques citoyens me disent « enfin, j’ai compris pourquoi il ne se passe rien dans ce pays et ce qu’il faut faire pour que ça change »… Là, je serais vraiment content…
 
Malheureusement, tout ce à quoi nous avons assisté et que nous allons continuer à subir, est loin, très loin de ce que je propose, à mille lieues du type d’adhésion, d’attitude de responsabilité et de réalité, que j’espère un jour faire partager au plus grand nombre... et tant pis si j’ai tort d’avoir raison tout seul (ça c’est pour Franz  ;o)…
 
C’est tout ce que je vise et j’ai parfaitement conscience que je ne suis pas au bout de mes peines pour faire admettre, au plus grand nombre, qu’on ne résoudra jamais aucun problème en s’accrochant religieusement à des croyances idéologiques...


PS : Ha encore quelques mises au point, qui sont tellement évidentes pour moi, que je n’ai même jamais pensé à vous les dire !!!
 
Dans les limites basiques de notre Déclaration des droits de l’homme, je n’ai nullement l’intention de dire un jour à tous ce qui est mal et ce qui est bien, ni d’imposer un modèle de société à quiconque…
 
Au contraire, je veux créer les structures qui permettront à tous de coexister avec leurs différences, leurs singularités et leurs choix de vie… ou pour reprendre les 3 objectifs de notre ami Franz :

1 - Comment permettre à chacun d'avoir une activité rémunératrice (ça dépasse largement le seul cadre de l'emploi) et de trouver sa place dans la société en lui apportant sa part originale ?
2 - Comment favoriser cette activité humaine sans consommer plus que ce que la planète peut offrir et sans en faire une poubelle pour les générations à venir ?
3 - Comment parvenir à inscrire cette démarche dans une économie mondialisée affranchie de tout contrôle ?

 

C’est pas des projets qui se suffisent à eux-mêmes ça ???
 
Je rajouterai, par ailleurs, que la simple application de notre Déclaration des droits de l'homme (qu'il faut lire et relire pour s'imprégner de toute sa puissance et clairvoyance, mais que je complèterais bien, cependant avec quelques articles supplémentaires) et la devise de notre république (liberté, égalité, fraternité) sont, pour moi, en soi, des projets politiques qui se suffisent à eux-mêmes et, surtout, des objectifs qui restent à atteindre… c'est entre autres pourquoi, je ne me sens pas la légitimité, ni la nécessité d'en définir de nouveaux…
 
Pour rester sur la métaphore de l'architecte, je dirais que, même si les politiques peuvent aider en proposant leur vision de ce qui est idéal pour eux, pour autant ce n'est pas à eux de définir les plans de la maison de chacun… (C'est, une des raisons majeures parmi bien d'autres, qui m'ont fait voter contre la Constitution Européenne qu'on nous « proposait » ; et les guillemets c'est exprès…)
Le rôle du politique, c'est de faire en sorte que les bases, les conditions de mise en œuvre et les fondations soient suffisamment solides, équitablement réparties et bonnes pour tous, pour que les maisons imaginées par les citoyens puissent se réaliser ; pas de leur indiquer ce qu'ils doivent faire ; dans la limite bien sûr, du cadre et des objectifs fixés par les textes fondateurs de notre république (d'ailleurs, c'est probablement, ce qui explique, en partie, la grande différence qui existe entre la façon de faire de la politique chez nous et les démocraties nordiques, où on se « dispute » sur les moyens à mettre en œuvre et, depuis fort longtemps chez eux, plus du tout sur les buts à atteindre)…
Au-delà de cela, tout le reste n'est que de la politique spectacle et du bourrage de crâne idéologique qui n'ont pas d'autres buts que de ratisser des voix et de maintenir les citoyens dans l'infantilisme… Alors, spécialement pour ceux qui me pressent de définir un projet idéologique, pourquoi voulez-vous ou tenez-vous tant que j'essaye de définir une maison commune ??? Celle que fixe notre Déclaration des droits de l'homme, ainsi que celle du CNR ne vous suffisent pas ? Alors qu'il y a déjà tant à faire pour mettre en œuvre et rendre réels les grands principes qui y sont énoncés…
 
Faire en sorte que les fondations, les bases et les chances données à chacun leur permettent de réaliser leur propre maison, n'est-ce pas un projet politique qui se suffit à lui-même ? C'est tout le sens de mes propositions et je pense que seulement après, nous pourrons discuter avec objectivité, de construire ou pas des maisons communes….
On ne discute pas et on ne propose pas un projet de « société idéale », alors que les besoins élémentaires d'une grande partie de la population ne sont pas comblés ; dans un tel contexte, ça reste pour moi des débats de nantis ou d'utopistes… J'ai rappelé dans mon blog la pyramide des besoins de Maslow (Cf : C - 9 - Nicolas Hulot : l'équation économique insoluble et insolvable... ), cela n'avait pas d'autre but que de démontrer qu'on ne peut pas raisonnablement et sans intentions malignes (même si elles sont inconscientes), demander de faire des choix de vie à des citoyens, alors qu'ils sont, pour la plupart, dans la survie ou dans la peur de perdre le peu qu'ils ont réussi à capitaliser…
 
Alors, pour moi, construire les bases qui permettront à chacun de faire des libres choix est un objectif en soi… et tant pis si cela déplaît à tous ceux qui ont besoin de « croire » religieusement à des idéologies politiques, et tant pis si je ne vivrais pas assez longtemps pour voir ce qu'ils feront de cette liberté… je sais, qu'au moins, j'aurai laissé aux générations futures suffisamment de force, d'individuation et de clairvoyance pour qu'ils puissent décider par eux-mêmes de ce qui est bon pour eux…
Encore faudrait-il que j'y arrive et pour l'instant, à part les rares quelques autres qui prêchent dans le désert comme moi, je ne vois pas beaucoup de personnes prêtes à aller jusqu'au bout de ce chemin…
 
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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 12:00

Première date de publication : 26/09/2006

Date de la dernière mise à jour : 10/2012


a - Pour me présenter
 
Mon parcours est celui d’un enfant né dans une famille ouvrière d’immigrés italiens arrivée dans les années 50. Mon père est venu en France, à Paris, parce qu’on avait besoin de ses compétences de marbrier. Ma mère avait fui les persécutions fascistes avant-guerre (1933) et a fait son école primaire à Brignoles (dans le Var) ; puis elle est repartie en Italie, puis elle est revenue en France ; mais à part pour rencontrer mon père, à vrai dire, je ne sais pas pourquoi la deuxième fois. J’avais 9 ans en mai 68. Je voyais rentrer mon grand-frère des manifs, abîmé, fatigué et avec des vêtements déchirés. J’entendais mon père (héros local de la résistance italienne) demander à celui-ci : "Vous avez des armes ? Vous n’en avez pas… Alors, ça ne sert à rien…". Communiste stalinien de la plus pure et dure souche, je l’ai cependant vu pleurer quand Mitterrand est arrivé au pouvoir, deux ans avant de mourir à 69 ans emporté par la silicose du marbre. Au moins, il est mort avec un espoir pour nous, il n’aura pas eu le temps d’être déçu, il n’aura pas eu le temps de se sentir trahi…

Donc, fatalement, j’étais marxiste léniniste à 9 ans (première manif pour l'enterrement de Pierre Overney), anarcho-nihiliste à 11 ans, anarcho-syndicaliste très activiste à 15 ans, et, après avoir été viré de mon lycée comme un vulgaire agitateur à la fin de ma seconde, paumé à 17 ans (si, si je vous assure, c'est le parti qui compte le plus d'adhérents) …
Puis, j'ai voulu pratiquer mes idées : communautés, autogestion, participation, … J’ai pris ma première gérance et direction d’entreprise à 26 ans. J'ai à peu près tout expérimenté comme forme de gestion sociale différente, avant de perdre mes dernières illusions en me faisant escroquer de 12 ans de travail et d’accumulation de capital, par des amis, tous de gauche, dans lesquels j’ai eu suffisamment confiance pour leur confier la direction de mes entreprises, alors que je devais m’absenter pour effectuer un stage qui devait permettre la validation de mon diplôme d’expert-comptable.

Si aujourd’hui, on peut dire que je fais parti de la "classe dirigeante", je n'oublie pas pour autant d'où je viens, ni ce que cela m’a coûté et me coûte encore d’en être sorti.
Je reste fondamentalement quelqu'un de gauche, parce que j'imagine qu'un autre monde est possible ; mais je me demande parfois, si ce n'est pas uniquement parce qu'il continue à y avoir beaucoup plus de pourris à droite… quoique… D'ailleurs à l'épreuve des faits, il me semble qu'aujourd'hui d'un point de vue strictement idéologique, ça ne veut plus dire grand-chose ; j'ai même quelques admirations pour certaines personnalités de droite, comme Simone Veil (vraiment une très grande dame à mes yeux), Philippe Séguin, ou Nicolas Dupont-Aignan (pour une partie de ses analyses et de son programme de 2007, mais quel dommage qu'il n'ait rien compris au positionnement idéologique et qu'il soit à côté de la plaque avec son opportunisme)... en gros ceux qui préfèrent la vérité des actes aux inévitables mensonges des sunlights. Et puis, j'ai rencontré tant de patrons dits de "gauche" qui n'arrivaient pas à la cheville humaine de patrons dits de "droite" que je suis sûr maintenant que ce n'est pas l'étiquette qu'elle affiche, qui fait l'humanité, la moralité, l’intégrité et l'intelligence d'une personne (d'ailleurs les "amis" qui m'ont escroqué étaient tous des moralistes de gauche…).
Pour la plupart des gens de gauche la propriété c’est le vol, … enfin, jusqu’au jour où ils ont l’occasion de devenir propriétaires eux-mêmes et que l’éthique qui fut la leur ne devienne plus qu'un beau discours… Je n'ai toujours pas déterminé, si c'est plus l'argent ou le pouvoir qui enlève à la grande majorité des gens leurs scrupules, mais c'est probablement un peu des deux… parmi bien d’autres funestes penchants humains…

Je n'ai jamais pris de carte et d'engagement nulle part, car, mon problème, c’est que je n’ai jamais réussi à trouver une réponse à un difficile paradoxe (par nature insoluble). Compte tenu du système institutionnel politique français, on ne peut rien faire aujourd'hui, si on n'a pas un parti avec soi ; le problème connexe, c'est qu’on ne peut pas plus faire quelque chose si on a un parti avec soi ; puisque fatalement, si vraiment on veut réformer, on finirait par toucher aux intérêts particuliers de quelqu'un de son "clan" ou de ceux qui vous ont élu…
De plus, je ne suis pas près d'en prendre une quand j'écoute les "menteurs professionnels qui nous gouvernent" qui n'ont jamais le courage d'expliquer honnêtement les enjeux contradictoires qu’ils doivent quotidiennement affronter, qu'ils soient de gauche ou de droite.
Par exemple, ce n'était pas très fin de la part de Claude Allègre (que d'ailleurs je n'estime pas plus que ça) de parler de "mammouth" à propos de l'éducation nationale ; pourtant, cette image est vraie, car je connais les difficultés qu'il a rencontrées pour apporter un peu de cohérence et de modernité dans cette hyper structure. Dommage qu'il n'ait jamais eu l'audace d'expliquer cette image, pourquoi il en était arrivé à dire ça et comment son courage d'homme était mis à rude épreuve… Face à ce qu'il a subi, moi, j'en aurais pleuré de rage en public à un journal de 20 heures ; idem pour l'obscur Jean Arthuis, médiatiquement inexistant Ministre de l'Économie (qui en plus avait la malchance de ne pas appartenir au sérail de l'administration) qui en 3 ans de gouvernement n'a jamais réussi à obtenir de ses cadres l'organigramme et l'échelle nominative des salaires de son tentaculaire ministère, grand fournisseur de placards dorés pour hommes politiques fatigués…

Les politiques voudraient nous faire croire qu'ils ont un avis et des solutions pour tous les problèmes, d'ailleurs ils n'osent jamais dire qu'ils ne savent pas, en nous noyant au passage sous des tombereaux d'inepties ; mais la réalité, c'est qu'ils ne font de la politique qu'en suivant la force des pressions qu'ils subissent et en mesurant l'impact électoral, que les mesures qu'ils pourraient prendre ou promettre, auraient sur la pérennité de leur gagne-pain...
Je crois que cela ferait le plus grand bien au climat de désintérêt politique, que tous ces gens-là arrêtent un peu de jouer les gros bras et expliquent les situations impossibles ou paradoxales auxquelles ils sont quotidiennement soumis, en ayant même l'honnêteté de dire "je ne sais pas" ou "je n'arrive pas à prendre de décision pour l'instant parce que c'est trop compliqué pour telle et telle raison, ou parce que je subis telle ou telle pression, ou chantage de la part de telle ou telle personne, ou groupe"… La population aurait alors un autre regard sur eux, peut-être même qu'elle aurait à nouveau envie de participer à sa propre destinée.
Mince, … Je voulais me présenter à vous et voilà que je suis déjà en train de digresser en vous débitant des lieux communs… Mais, peut-être est-ce également une façon de me présenter…

J’ai une formation fondamentalement scientifique et seuls les résultats m’intéressent. Je suis un adepte des cycles action, réaction, évaluation, réévaluation et action. En bref, j’exècre les sempiternelles déclarations d’intention, intentions, recul devant le premier blocage qui se présente, inactions, réévaluation des intentions… qui nous ont conduits au désert de perspectives actuel.
Je n’ai personnellement aucune ambition politique et n’ai aucun goût, ni aucun courage, pour aller exercer un mandat représentatif quelconque. Je laisse cela à ceux qui trouvent un plaisir personnel à être continuellement en représentation. Cependant, je suis prêt à contribuer techniquement et de façon pratique avec tout groupe qui se saisirait des réformes proposées, à la condition qu’il se situe en dehors des "religions idéologiques" et des extrémistes de droite ou de gauche.

Ha, encore une chose, pour lever un peu de "mystère" sur mon pseudo… Le problème c'est que j'ai été longtemps expert-comptable, commissaire aux comptes, que je dirigeais encore il y a peu une entreprise et que je me destine à en gérer d'autres. Outre le "devoir de réserve" inhérent à ces professions règlementées, il est assez compliqué et malvenu d'avoir des positions politiques affichées quand on a, et qu'on veut encore exercer les fonctions qui ont été les miennes. Nous sommes en démocratie, mais malheureusement, les susceptibilités diverses et variées (des actionnaires, des administrations, des salariés, et cetera...) pourraient se manifester compte tenu du contenu de ce blog. Il est donc parfaitement inutile que je me crée moi-même des problèmes que j'évite avec cet anonymat.
Par ailleurs, l'anonymat, outre qu'il est imposé par ma situation professionnelle, a aussi un avantage, il empêche toute dérive du "culte de la personnalité" et satisfaction narcissique personnelle, en cohérence avec ce que je dénonce dans notre système politique actuel... À bien des égards, et sans que cela soit ce qui a motivé cet anonymat au départ, je considère aujourd'hui, que parler sans personnification est aussi un acte politique qui a du sens ; d'autant plus que ceux qui veulent connaître d'où je parle peuvent en savoir plus sur moi en lisant les préambules qu'ils n'en sauront jamais en connaissant mon nom.
Je me demande, d'ailleurs, si ce n'est pas ainsi qu'on pourrait calmer toutes les luttes de pouvoir et de place qui sévissent, de manière mortifère, dans "l'intelligentsia" française. Des débats anonymes, où, les participants, tout en disant d'où ils parlent, ne donneraient pas leur nom... Je suis sûr qu'il serait beaucoup plus difficile pour les uns et les autres de prendre systématiquement le contre-pied des idées, comme cela se passe actuellement dans notre classe politique. Un vrai concept d'émission politique à creuser...
 

b - Explications sur le contexte et la philosophie générale des propositions
 
Je précise à l’usage de ceux qui pourraient penser que ce programme aurait une connotation politique de droite qu’il faut prendre un peu de hauteur en dehors des raisonnements partisans ou idéologiques, afin d'en saisir toutes les finalités.
Pour atteindre certains objectifs, il y a fort longtemps que mon expérience personnelle des organisations m’a fait assimiler que ce n’est pas le résultat visé qui doit indiquer le chemin à suivre, mais les réponses qui provoquent la dissolution des contradictions.
Vous pouvez pour plus d’explications vous référer à toute l’école systémique [A001], mais également à l’analyse fonctionnelle ou plus simplement au bon sens… Sachez simplement que chaque proposition est fondée par des constats provenant de mon expérience quotidienne de la gestion d'entreprises et de notre contexte social, ainsi que de l'analyse des conséquences paradoxales de nos systèmes.

L'analyse systémique permet, entre autres, de démontrer et de révéler qu'à terme, toute action résultant d’une "bonne intention" [A002] a des conséquences perverses qui vont à l’encontre du but recherché (Watzlawick dirait que la tendance homéostatique des organisations a pris le pas sur les buts poursuivis). Elle propose de déplacer les réponses, afin de sortir dynamiquement des paradoxes insolubles qui sont soumis aux décideurs.
Je ne développerai donc pas exhaustivement ce sur quoi sont fondées mes certitudes, mais, bien évidemment, si vous aviez besoin d'informations complémentaires pour comprendre pourquoi je prescris telle ou telle mesure, vous pouvez vous référer aux notes de bas de page volontairement succinctes, et je reste à votre disposition pour toute critique, discussion, explication ou contribution : incognitototo@free.fr.

Le temps étant une valeur non extensible, je ne pourrai probablement pas répondre à tous, et vous m’en excuserez par avance, mais sachez que vos réflexions seront une mine précieuse pour affiner ou modifier le sens de ces propositions.

Par ailleurs, il faut comprendre toutes ces propositions comme un tout indissociable et quasiment simultané pour certaines mesures. Il est hors de question de prendre une mesure dissociée de celles qui la soutiennent, comme le font depuis des années nos politiques qui pratiquent les réformes par "saupoudrage" et semblent avoir perdu toute vue globale des problématiques. Autrement dit, il est hors de question de "dénouer" une problématique sans lui adjoindre les mesures qui compenseront dynamiquement les effets pervers. Un temps de mise en place sur 2 ans me paraît un maximum pour prendre de vitesse les réactions de "résistance" qui, hélas, ne manqueront pas de surgir.
 
Pour ceux qui auraient l’impression que mes propositions vont dans tous les sens… En réalité, ce n’est pas dans tous les sens, c’est dans un tronc commun de sens :
● rendre les gens maîtres de leur destin,
● redéfinir et rétablir les responsabilités,
● réintroduire de la démocratie là où elle a disparu,
● remettre les politiques au boulot,
● relocaliser l’économie,
● créer plus de richesse, d’emplois, et des ressources nouvelles,
● éradiquer le chômage de masse et redistribuer nos fonctionnaires (ou assimilés) sur des emplois utiles, socialement et économiquement,
● éradiquer nos dettes et rétablir l'équilibre de notre balance commerciale,
● mettre fin aux petites magouilles,
● dissuader les spéculateurs de gagner toujours plus d’argent sans rien faire, sans aucune considération, pour les humains qu’ils exploitent et la planète qu’ils saccagent,
● faire de colossales économies d’échelle pour revenir à un ser vice public qui préfère éduquer, soigner, rendre justice, protéger et aider des gens plutôt que leur demander leurs papiers…
 
Si vous vous focalisez sur une mesure particulière, n’oubliez surtout pas ce que je dis précédemment : chaque mesure qui serait prise séparément des autres n’a pas de sens en soi et produirait probablement plus de dégâts qu’elle ne générerait de bénéfice… Il y a une "logique" dans l’ensemble des propositions (quand j’ouvre une porte, j’en ferme d’autres…) qui est indissociable pour produire les résultats escomptés.


Branche de la psychosociologique, l'analyse systémique s’est principalement intéressée à l’action des paradoxes structurels sur le comportement des individus. L’Ecole de Palo Alto et Watzlawick en sont les principaux créateurs. Selon cette école ce sont les paradoxes insolubles de double contrainte qui produisent les "maladies" aussi bien au niveau des individus que des institutions.
Les fondements de cette école de penser et d'action peuvent se résumer de la façon suivante :
● Outre leur capacité d'adaptation et de transformation (la "morphogénie"), les "systèmes" génèrent une maladie qui s’appelle "l’homéostasie" ; où les buts qu’ils poursuivent sont supplantés par des systèmes non-dits où la seule finalité devient la survie de la structure elle-même.
● Les "maladies" se cristallisent à partir des nœuds paradoxaux ("paradoxe" et son adjectif "paradoxal", au sens systémique du terme : qualifie un système qui, en situation de doubles contraintes, produit des réponses automatiques et inadaptées au contexte).
● Il faut identifier les nœuds paradoxaux pour espérer "traiter" et faire évoluer le système, donc avant tout discerner les lois qui régissent le système et qui se perpétueront même en cas de changement de forme.
● Toute action qui s'attaque directement aux nœuds paradoxaux est vouée à l'échec, car le système développe une réponse de résistance proportionnelle à l'attaque elle-même, et c'est logique puisqu'il se sent atteint dans ce qui fonde sa survie la plus primaire. De même, il est illusoire d'espérer qu'un système englué dans ses paradoxes arrive à se réformer lui-même, car il faudrait qu'il puisse admettre qu'il doit remettre en cause sa survie, ce qui est impossible.
● Les meilleures chances de changement sont celles qui, au lieu d'essayer de répondre aux paradoxes qui sont par nature insolubles, déplacent les réponses à des endroits où le système homéostatique n'aura plus de prise (d’où la réforme des institutions que je place en premier dans ma liste des urgences) ; ou comme dirait A. Einstein : "On ne règle pas un problème en utilisant le système de pensée qui l'a engendré."
Ces lois inhérentes à tout système ont de funestes conséquences logiques :
Devant un constat d'échec plutôt que de réévaluer ou réformer le système qui y a conduit et dont ils font partie, les politiques "préfèrent" créer de nouvelles structures qui au final rendent le système global de plus en plus immaîtrisable et les responsabilités de plus en plus diluées… (Vous remarquerez que les développements informatiques suivent à peu près la même logique de méta structuration pour arriver… à des usines à gaz ingérables)
Le chaos institutionnel créé par la multiplication des structures et la complexité des lois ne permet plus du tout d’identifier les responsabilités à quelque niveau que cela soit. Non seulement les coûts structurels deviennent alors sans commune mesure avec le service rendu, mais de plus, c’est un très grave danger pour la démocratie. (Il est presque étonnant, par exemple, que les politiques qui ont accepté nos transferts de souveraineté à l'UE, n'aient jamais, concomitamment, proposé la moindre réforme de toutes les institutions concernées par ces transferts ; c'est-à-dire à peu près toutes. Et pourtant, à la suite de ces transferts, la plupart sont devenues, de fait, exécutives, consultatives, redondantes, caduques ou inutiles)

Toutes les propositions qui suivront sont issues de ce type d'analyse et forment un tout indissociable.

Est-il nécessaire de rappeler ce vieil adage : "Si tu veux aider quelqu'un qui a faim, plutôt que de lui donner du poisson, apprends-lui à pêcher" ; tout est relatif, mais ce qui est sûr c'est que les réformes politiques qui ne visent pas la responsabilisation des personnes sont invariablement vouées à l'échec. Quand les systèmes créent des identités "d’assisté social", il est parfaitement illusoire d’attendre des réponses de responsabilité de ceux qui en font partie. En fait quand on veut lier la résolution d’un problème à un système de cause à effet direct, on est très souvent à côté de la plaque, si on ne se demande pas quelles perversions les règles en place vont forcément déterminer. Ou autrement dit, il faut d’abord réfléchir aux conséquences indirectes, car, tôt ou tard, ce sont elles qui prendront le pas sur les effets directs… Pour mémoire, c’est de ce type de constat qu’est née la pensée antipsychiatrique, qui a plus que démontré que les systèmes institutionnels psychiatriques étaient "naturellement" conduits à voir des fous partout et surtout à n’en guérir aucun. En effet, qu’adviendrait-il de ces institutions si elles réussissaient à guérir les "fous", elles seraient fatalement obligées de s’autodissoudre… Non seulement, c’est un acte impossible, mais on comprend bien, dans ce type de dynamique de "double contrainte", que le système institutionnel va autoproduire les justifications de sa survie, de sa pérennité et même de son extension.

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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 11:00

Première date de publication : 26/09/2006

Date de la dernière mise à jour : 10/2012


Ce blog de propositions et de réflexions politiques est né de mes colères et de mon désespoir.
 
Colères, de voir, depuis 30 ans, les mêmes hommes et femmes politiques qui ont tous, peu ou prou, eu le pouvoir, sans jamais finaliser les réformes structurelles profondes que demanderait une vraie politique de changement.
Il semble que cela ne choque personne que ces responsables, à part de rares cas, ne tirent jamais les conséquences de leurs échecs en se "retirant de la vie politique" ; moi ça m’horripile. A leur place, la plupart des honnêtes gens auraient déjà émigré en Patagonie en laissant leur place à d’autres, et en avouant publiquement qu’ils sont trop cons, ou trop embourbés dans des considérations contradictoires, pour les problèmes à résoudre. Mais eux, non, ils continuent inlassablement à nous promettre des lendemains meilleurs, à éditer des livres d’analyses et de promesses qu’ils ne tiendront jamais, à discutailler sur les raisons de ce qui va mal ; sans jamais douter, sans jamais se demander si, au fond, ce n’est pas eux le problème insoluble qui empêche tout changement…
 
Désespoir, que je partage avec bien des citoyens qui ne voient aucune lumière s’allumer, même dans un futur lointain, qui guiderait cette société vers plus d’humanité, plus de partage, plus de démocratie, plus de liberté, plus de fraternité, plus d’égalité, plus de paix…
Nous avons abdiqué devant les tenants du tout libéralisme. D’ailleurs, nous avons signé des accords internationaux qui nous lient, nous et nos descendants, pour faire du monde un grand marché économique fondé sur la libre concurrence. Sauf que tout indique que ce monde globalisé qu’on nous propose (déjà en route depuis 40 ans et présenté comme inéluctable), sera celui de la concurrence des misères à l’échelle internationale.Dans 20 ans, qu’est-ce qui restera de nos idéaux républicains, qu’est-ce qui survivra d’un projet de société plus juste et prospère ? Serons-nous fiers de ce que nous laisserons à nos enfants ?
 
La classe ouvrière européenne aura disparu (à part dans les pays européens entrants), il ne restera plus que des riches, quelques intermédiaires au service des riches et beaucoup de pauvres ; les protections sociales auront été abandonnées, il ne restera plus que la charité et le chacun-pour-soi… le modèle américain à l’échelle planétaire.
 
Je ne veux pas de ce monde là et, même si j’ai renoncé à changer les gens contre leur volonté, en leur imposant des idéaux socialistes, je sais qu’il est possible d’inverser le cours des choses… d’empêcher que le transfert des misères continue son inexorable progression, pendant que certains continuent à toujours plus s’empiffrer sur les malheurs du monde. Ceci ne se résoudra pas magiquement, mais en prenant les décisions que nos politiques n’osent même plus évoquer, tant ils sont embourbés dans leurs considérations électoralistes, tant ils évitent les confrontations douloureuses, et pourtant indispensables, pour que les problèmes trouvent vraiment leurs solutions.
 
Je n’ai peut-être plus beaucoup de temps à vivre et c’est pour cela, que j’essaye de transmettre à d’autres le fruit de mes réflexions et de mes expériences. Pas des blablas idéologiques, seulement des constats et des mesures concrètes pour réformer et revitaliser de fond en comble la société française et l’Europe.
 
Je suis désolé pour ceux qui s’attendraient à de beaux discours idéologiques et pour ceux qui auront le sentiment de ne pas comprendre ou de se perdre dans la technicité des propositions. Mais faire de la politique pour changer, c’est avant tout prendre des décisions de gestion en modifiant des lois. Si on ne va pas dans le détail de ce qui doit être changé, alors en réalité, au-delà des discours, c’est qu’on n’a rien à proposer. A ce propos, je m’étonne, que depuis 20 ans, quand je lis des programmes politiques, à l’exception de ceux des extrémistes, je puisse être d’accord avec à peu près tous les partis pour ce qui concerne leurs déclarations d’intentions… Mais là où je suis moi-même désolé, c’est qu’aucun ne dise jamais concrètement comment il va faire pour arriver à réaliser ce qu’il promet…
 
D’abord, tentative discrète par l’intermédiaire de publication sur le net sans que cela ne recueille un franc succès ; puis, de lettres à nos députés, faut-il le préciser restées sans réponses ; je me suis décidé à proposer cet essai à l’édition, dans l’espoir qu’il suscite réflexions et surtout actions, mais aucun éditeur n'a donné suite... Il faut les comprendre, ils préfèrent publier des politiques people qui nous ressassent les mêmes platitudes depuis 30 ans, plutôt qu'un illustre inconnu, fut-il porteur de débats et de solutions que personne, dans la classe politique, n'ose même plus évoquer...
 
Il comporte six parties qui peuvent se lire indépendamment :
      A - D’où je viens, comment je me situe ; philosophie et cadre général des propositions.
B - Le programme politique de réformes ; accompagné par des notes explicatives qui permettront, je l’espère, aux non-spécialistes d’en comprendre le sens et les finalités. La partie "propositions" et celle comportant les "explications" ont été séparées pour un meilleur confort de lecture.
C - Un petit recueil de vécus personnels anecdotiques, ainsi que des réflexions liées à des actualités, que je souhaite partager avec les lecteurs que cela intéressera. Mon souhait est que ces histoires ou réflexions puissent dire à elles seules où sont les problèmes et comment les corriger.
D - Des réactions à chaud sur l’actualité.
E - Une catégorie « Mes mauvaises humeurs…et pour rire (jaune) » recueil de mes défoulements satiriques et forcément injustes, qui pourront devenir également les vôtres, si le cœur vous en dit.

F - Un recueil de textes déjà publiés dans d'autres catégories, regroupant ceux concernant la Ville de Paris et de manière plus générale les problèmes d'urbanisme ou de politique dans la cité.
Rubriques que j’alimenterai en fonction des urgences, de vos contributions, de mes humeurs... et du temps qu’il me reste, car, malheureusement, c’est une donnée non extensible ; comme presque tout le monde, je dois aussi travailler et vivre par ailleurs… Alors, ne m’en veuillez pas si je ne réagis pas toujours aux commentaires (que vous pouvez laisser à la suite des articles ou dans la partie"G - Le livre d’Or"), comme beaucoup, je fais ce que je peux…
 
Ce n’est pas parce que la peste (le modèle capitaliste libéral) a momentanément gagné contre le choléra (le modèle communiste) qu’il n’y a plus de maladie à combattre, de combats à mener et que d’autres voies ne sont pas possibles.
 
En réalité l’échec des "modèles" socialistes, n’a jamais conduit ceux qui les ont expérimentés à vraiment se demander ce qui dans l’homme, dans eux-mêmes, en moi, est incompatible avec les idéaux de partage et d’humanité, qu’est-ce qui dans les systèmes planifiés ou de capitalisme d’État est antinomique avec la performance économique, la prospérité et la rentabilité.
 
C’est dommage que l’idéal rousseauiste ait aveuglé à ce point nos penseurs ; la prémisse de l’homme "bon" est une foutaise. De même, celui de dirigeants éclairés qui pourraient préserver leur intégrité, leur humanité et leur intelligence en exerçant le pouvoir, un vœu pieux… Tout le monde a un seuil de corruption (moi y compris : le mien est à 16 millions d'euros pour celui que cela intéresserait de me corrompre) et d’incompétence, qui deviennent d’autant plus nuisibles pour les autres que le pouvoir est grand.
 
Il est probable que si le présupposé politique et idéologique avait été que l’homme, même avec de beaux idéaux, est foncièrement un enfoiré avec ses semblables, qui pense avant tout à préserver ses intérêts personnels acquis et à en conquérir de nouveaux, avant tout pour lui-même et son clan, l’histoire aurait tourné autrement.
 

Mais ne désespérons pas :"Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent." (Henri Dunant fondateur de la Croix-Rouge, me semble-t-il, puis injustement attribué aux publicistes d’Apple)

J’espère, avec ce blog, apporter une contribution pour démontrer que rien n’est inéluctable et que des solutions existent.

    
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